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16 août 2014 6 16 /08 /août /2014 21:11


Les lois de Matthieu par ARTEplus7

 

Matthijs, affecté par des troubles autistiques, cherche désespérément à mettre de l’ordre dans le chaos qui l’entoure. À la fois fragile et doué d'une intelligence hors du commun, il s'efforce de contrôler chaque moment de sa vie. Il n'y a que dans sa maison qu'il trouve paix et équilibre. Lorsqu’il doit entrer en contact avec le monde extérieur (s'il décide par exemple de faire des travaux risquant de déranger ses voisins), des confrontations explosives ont lieu. Le réalisateur Marc Schmidt a su établir avec amour, distance et complicité un face-à-face avec son ami d'enfance autiste. Il le filme de près, alternant des scènes de vie quotidienne, des plans de la maison et des notes du journal intime de Matthijs. Par la radicalité de son approche, son documentaire traverse la frontière du monde inconnu et mystérieux de l'autisme.

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28 juillet 2014 1 28 /07 /juillet /2014 13:46

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Hubert Reeves, astrophysicien, philosophe et grand communicateur, est de retour au Globe de la science et de l’innovation, deux ans après la découverte du boson de Higgs au CERN, pour parler des frontières de la physique, de l’astronomie et de la philosophie. Si vous vous êtes déjà demandé dans quelle mesure cette découverte a changé notre connaissance de l’Univers et renforcé le lien entre le monde infiniment grand de l’astrophysique et le monde infiniment petit de la physique quantique, cette conférence est faite pour vous, à l'adresse suivante : http://cds.cern.ch/record/1744981

Cet événement s’inscrit dans le cadre de POPSIENCE, un projet co-organisé par le CERN en collaboration avec Subway, l’association Origins, l’Académie mondiale de la poésie, l’Université de Genève et la FNAC, pour l’édition 2014 de la Nuit européenne des chercheurs.

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27 juillet 2014 7 27 /07 /juillet /2014 13:54

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C'est fait : me voilà master teacher de Reiki par le biais de mon Maître Spartakus FreeMann

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24 juillet 2014 4 24 /07 /juillet /2014 01:37

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http://magazine-regard-bouddhiste.com/regard-bouddhiste-n4-est-disponible/

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26 juin 2014 4 26 /06 /juin /2014 12:49

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"A la Une de ce nouveau numéro, un dossier spécial sur la réalité. Comment les mathématiques, la physique quantique, les neurosciences ou la psychologie apportent leur éclairage sur ce qu’elle est vraiment.

Le monde existe-t-il seulement quand on le regarde ? La science entretient avec le réel une relation paradoxale : elle suppose qu’une réalité objective, à propos de laquelle nous nous accorderions tous, existe et que nous pouvons l’étudier
 et l’expérimenter.

Pourtant, ce faisant, elle montre que l’essence des choses défie notre expérience quotidienne. Elle n’est jamais là où le sens commun l’attend. Plus on pense s’en approcher, plus elle se dérobe. Comment dès lors y accéder ?

Simuler, modéliser cette réalité pour mieux la comprendre est aujourd’hui une voie de plus en plus empruntée. Cette quête exige aussi d’apprendre à voir plus grand, à dépasser nos intuitions, à leur résister même ! Autant de pistes pour construire notre propre... réalité.

Entretien avec Max Tegmark : « L’essence du monde est mathématique ». Quelle est la nature ultime du monde réel ? La question pousse les physiciens à élaborer des hypothèses défiant l’intuition. La réalité est toujours différente de ce qu’elle paraît.

La Lune existe-t-elle quand nous ne la regardons pas ? Pour la physique quantique, la réalité n’existe que quand
 nous réalisons des mesures et des observations. Y compris, peut-être, pour les objets que nous manipulons à notre échelle"

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19 février 2014 3 19 /02 /février /2014 15:05

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"Le bouddhisme est perçu comme une spiritualité thérapeutique, sorte de prêt-à-vivre pour un monde "zen". Cette simplification n'est que la plus visible de toute une série de réductions ou de mécompréhensions que cet ouvrage s'emploie à détecter et à défaire. Ainsi, le bouddhisme ne serait pas une religion, mais une philosophie. Autre malentendu : la méditation, réduite à l'introspection alors qu'elle est tournée vers la compassion universelle. Mais qu'est-ce que cette compassion ? Un simple élan du coeur ? Et l'ego ? Il n'aurait pas de réalité ? Ecarte-t-il pour autant la force de l'individualité ? Le livre éclaircit aussi des notions plus difficiles telles celle du karma, que l'on interprète à tort comme une prédestination, ou celle de la réincarnation. Il s'interroge sur la notion de "gourou", sur la non-violence et le végétarisme. Il se demande si le bouddhisme est un outil de développement personnel et quel bonheur il vise. Le livre s'achève par une question déterminante : les réductions dont est victime le bouddhisme ne serviraient-elles pas à répondre aux maux de notre société ? Réciproquement, les maîtres bouddhistes n'ont-ils pas contribué à nourrir tant d'erreurs en diffusant leur savoir en Occident sans s'interroger sur ce que cette "transplantation" engageait ?"


Philippe Cornu est un des spécialistes du bouddhisme les plus reconnus en France. Il est notamment l'auteur, au Seuil, du Dictionnaire encyclopédique du Bouddhisme (2001) et de La Terre du Bouddha (2004), ainsi que de plusieurs traductions du tibétain parues en "Points sagesses". Il vit à Paris.

Source : Institut d'Etudes Bouddhiques ---> http://www.bouddhismes.net/node/1687

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29 octobre 2013 2 29 /10 /octobre /2013 12:07

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Un couple voit son quotidien bouleversé par le cancer du sein qui atteint Jennifer et qui finira par l'emporter à l'aube de ses 40 ans, en décembre 2011.  Angelo Merendino est photographe et a décidé de raconter ce qu'ils traversaient en images. Le résultat, c'est "The battle we didn't choose" (La bataille que nous n'avons pas choisie), une magnifique série de photos en noir et blanc, visible à l'adresse suivante : http://mywifesfightwithbreastcancer.com/

 

 

 

Our Story

« La première fois que j'ai vu Jennifer j'ai su. J'ai su qu'elle était la bonne. Je l'ai su, comme mon père pendant l'été 51 quand il a chanté I found her à ses soeurs après sa rencontre avec ma mère.

Un mois après, Jen a trouvé un job à Manhattan et a quitté Cleveland. J'y allais - pour voir mon frère, mais je voulais vraiment voir Jen. À chaque visite mon coeur criait « Dis-lui ! » à mon cerveau, mais je n'arrivais pas à trouver le courage de lui dire que je ne pouvais pas vivre sans elle. Mon coeur a finalement pris le dessus et, comme un petit garçon, j'ai dit à Jen « Je craque pour toi ». Au grand soulagement de mon coeur, qui battait la chamade, les beaux yeux de Jen se sont illuminés et elle a dit « Moi aussi ! »

Six mois plus tard j'ai rassemblé mes affaires et je suis parti à New York, une bague de fiançailles pesant dans ma poche. Cette nuit-là, dans notre restaurant italien préféré, je me suis mis à genoux et j'ai demandé à Jen de m'épouser. Moins d'un an plus tard nous nous marrions à Central Park, entourés de nos amis et nos familles. Plus tard dans la nuit, nous dansions ensemble pour la première fois en tant que mari et femme au son de mon père jouant de l'accordéon et chantant I'm in the mood for love.

5 mois plus tard on diagnostiquait à Jen un cancer du sein. Je me souviens du moment exact... La voix de Jen et le sentiment d'être paralysé/engourdi qui m'a envahi. Cette impression ne m'a jamais quitté. Et je n'oublierai jamais la façon dont on regardait dans les yeux de l'autre en se tenant les mains. « Nous sommes ensemble, ça ira ».

Nous étions plus proches à chaque épreuve. Les mots devenaient moins importants. Une nuit, Jen a été admise à l'hôpital, sa douleur n'était plus contrôlable. Elle a serré mon bras, les larmes lui montant aux yeux, « Tu dois me regarder dans les yeux, c'est le seul moyen pour que je puisse supporter cette souffrance ». Nous nous aimions tous deux de toute notre âme.

Jen m'a appris à aimer, à écouter, à donner et à croire en les autres et en moi-même. Je n'ai jamais été plus heureux qu'à cette période.

À travers notre combat nous avons eu la chance d'être vraiment soutenus par notre groupe mais nous devions lutter pour faire comprendre aux gens notre quotidien et les difficultés que nous avions à affronter. À cause des effets secondaires de près de 4 ans de traitement et de médicaments, Jen avait des douleurs chroniques. À 39 ans, Jen a commencé à utiliser un déambulateur et était épuisée d'être constamment consciente de chaque petit choc, chaque petit bleu. Il n'était pas rare que les séjours à l'hôpital durent 10 jours et plus. Les visites fréquentes des docteurs menaient à des batailles avec des compagnies d'assurance. La peur, l'angoisse et les inquiétudes étaient constantes.

Malheureusement, la plupart des gens ne veulent pas entendre ces réalités et à certains moments nous avons senti notre soutien s'effacer. D'autres survivants au cancer partagent cette perte. Les gens supposent que le traitement vous fait aller mieux, que les choses tournent bien, que la vie retourne à la « normale ». Cependant, il n'y a rien de normal à Cancerland. Les survivants au cancer doivent définir le nouveau sens qu'ils donnent au « normal », souvent de manière quotidienne. Et comment les autres peuvent-ils comprendre ce avec quoi nous devons vivre tous les jours ?

Mes photographies montrent ce quotidien. Elles humanisent le visage du cancer, sur le visage de ma femme. Elles montrent les épreuves, la difficulté, la peur, la tristesse et la solitude que nous vivons, que Jennifer vivait, alors qu'elle luttait contre cette maladie. Plus important que tout, elles montrent notre amour. Ces photographies ne nous définissent pas, mais elles sont nous.

Le cancer est dans l'actualité de tous les jours et, peut-être, à travers ces photographies, que la prochaine fois qu'on demandera à un malade du cancer comment il ou elle va, on lui offrira en plus d'une écoute une réponse avec un peu plus de connaissance, d'empathie, une meilleure compréhension, une attention sincère et un véritable intérêt.

 

« Aimez chaque petit morceau de ceux qui vous entourent » – Jennifer Merendino 

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29 septembre 2013 7 29 /09 /septembre /2013 17:07

Sortie prévue le 18 octobre 2013


"Que ta nourriture soit ta médecine" (Hippocrate)


 

"Le film "La santé dans l'assiette" examine l'hypothèse selon laquelle le renoncement aux produits d'origine animale et industriellement transformés permettrait de soigner la quasi totalité des "maladies de société" qui frappent tous les pays occidentaux.


Aujourd'hui en France 15% de la population adulte est obèse. 60% de la population française a passé le seuil à partir duquel il ne faut pas grossir pour éviter l'obésité et les autres maladies de société.

Au cours des 15 dernières années, l'obésité a augmenté de 75%. (obEpi-Roche 2009). Les maladies cardiovasculaires, quant à elles, représentent la 2e cause de mortalité dans l'hexagone. Et chaque année plus de 15 000 pontages coronariens sont exécutés...

Le film suit l'itinéraire personnel du Dr. Colin Campbell, biochimiste, spécialiste de la nutrition à l'Université Cornell et auteur de la plus importante étude jamais réalisé dans ce domaine : "le rapport Campbell". Le film recoupe aussi le parcours du Dr. Caldwell Esselstyn, chirurgien de renom à la célèbre Cleveland Clinic spécialiste des maladies cardio-vasculaires"

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11 août 2013 7 11 /08 /août /2013 14:27

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Rediffusion de l'émission du 23 février 2010, à l'adresse suivante : http://www.franceculture.fr/emission-les-racines-du-ciel-l-accompagnement-de-la-fin-de-vie-avec-gabriel-ringlet-rediffusion-de-l

 

"Gabriel Ringlet est docteur en communication sociale. Professeur et Vice recteur émérites à l'Université catholique de Louvain, il y enseigne le journalisme et l'ethnologie de presse. Il poursuit des recherches sur « mort et communication ». Prêtre, écrivain et théologien, il a publié entre autres : Le mythe au milieu du village (EVO,1980), Un peu de mort sur le visage (Desclée De Brouwer, 1997), L'Evangile d'un libre penseur (Albin Michel, 2002), La résistance intérieure (1998), Eloge de la fragilité (troisième édition 2000 et « poche » 2004), Ma part de gravité (2002), Et je serai pour vous un enfant laboureur (2006). Son dernier ouvrage est paru en 2008 aux éditions Albin Michel : Ceci est ton corps : journal d'un dénuement" .

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13 juillet 2013 6 13 /07 /juillet /2013 13:54

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"Ils fêtent… Ils chantent, ils rient… Où ont-ils la tête ? et où ont-ils le cœur ? La joie est un rictus égoïste, un scandale face au scandale du monde. - Arrête, malheureux… Tu te fais mal en te plaignant. Préserve-toi, un peu. - Mais sais-tu, mon salaud, combien d’enfants agonisent tandis que je t’insulte ? Si oui, tu es un monstre, sinon tu n’es qu’un fou.

 

Les livres qui tiennent en quelques pages ne sont pas les plus mauvais. Car on peut tout dire en quelques pages. « La force majeure » est une grenade minuscule mais dont la densité compense le volume. Chaque phrase de ce livre est une perle. Chaque page contient une idée neuve. Il fallait un philosophe qui sût parler de la joie sans être ennuyeux. Ce philosophe s’appelle Clément Rosset"

 

Emission à l'adresse suivante : http://www.franceculture.fr/emission-le-gai-savoir-la-force-majeure-clement-rosset-2013-06-30

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